mercredi 28 juillet 2010 à 02:29
Des partis politiques de l’opposition mettent en garde le Conseil électoral provisoire (CEP) contre l’utilisation de leurs noms et emblèmes dans le cadre du scrutin prévu le 28 novembre 2010.
Les dirigeants des plateformes Alternative, UCADDE, RASANBLE et Libération dénoncent l’incapacité des conseillers électoraux à organiser d’élections crédibles et transparentes en Haïti.
Evans Paul, de la plateforme Alternative, croit dur comme fer que “le CEP présidé par Gaillot Dorsainvil et René Préval n’est pas à même de réaliser des compétitions électorales honnêtes dans le pays”.
Les responsables de ces formations politiques projettent de descendre dans les rues de Port-au-Prince ce 28 juillet pour exiger la révocation des membres de l’actuel CEP.
Evallière Beauplan et Youri Latortue, du Collectif pour le renouveau d’Haïti, estiment quant à eux que le poids de l’International est assez significatif dans le maintien de l’actuel Conseil électoral.
Certaines ambassades travaillent au renforcement sinon au maintien du statu quo en Haïti, dénoncent ces sénateurs sans, toutefois, préciser les ambassades
Radio Vision 2000
Qu'arrivera-t-il si tous ces gens qui ne pensent qu'à leurs intérêts particuliers persistent chacun dans sa position jusqu'aux élections du 28 novembre? Le même chaos de toujours? Se montreront-ils un peu raisonnable en plaçant les intérêts de ce pays agonisants au dessus de leurs ambitions morbides? Voilà les questions qui troublent l'opinion publique dans un pays en ruine!
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