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jeudi 17 mai 2012

Des Donateurs québecois font don d'un orphélinat à Haïti

Haïti: Les bénévoles de la Fondation Jacqueline-Lessard en Haïti viennent de poser la dernière pierre de l'orphelinat-école qu'ils construisent dans la banlieue de Port-au-Prince. L'équipe recherche maintenant un partenaire pour assurer son fonctionnement.
«La générosité des Québécois nous a permis de rendre concret le projet qui tenait tant à coeur à Jacqueline Lessard», affirme Mylène Béliveau, directrice du projet de construction.
Ce projet comprend un orphelinat d'une capacité de 80 places, une école pouvant accueillir 400 enfants auxquels s'ajoute un bâtiment annexe, pour un coût total de 1,8 M$. Il a été initié par la Fondation Jacqueline-Lessard, du nom d'une Almatoise de 85 ans qui se mobilise pour les enfants haïtiens, et soutenu par de nombreux mécènes québécois.
journalmetro.com

http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=105157&PubDate=2012-05-17

Commentaire



Ce nouveau geste des Québécois envers Haïti mérite d'être reconnu. En effet, ils ont été parmi les premiers à avoir couru au secours des Haïtiens avant, pendant et après le terrible séisme de 2010. Et comme les Québécois, il y a des milliers en Amérique, mais aussi en Europe, en Asie et même en Afrique qui n'ont pas hésité un seul instant à faire ce qu'il fallait pour sauver des vies et s'assurer de continuer à le faire envers et contre tous et contre tout. Mais les dirigeants haïtiens, les sénateurs, les députés, les maires sans oublier évidemment le président et le premier ministre, quand commenceront-ils leur propre intervention? Ignoreront-ils plus longtemps leur devoir sous prétexte que les ressources ne suffisent pas? Et comment se fait-il que plusieurs d'entre eux accumulent des millions qui devraient pourtant faciliter la reconstruction d'Haïti au nom de laquelle ils motivent toute leur demande d'aide? Les dénonciations de la journaliste dominicaine Nuria Piera et renforcées par plusieurs autres journalistes dominicains et Haïtiens dont le directeur de Acento, Fausto Rosario, n'auront-elles aucun effet sur la manière des politiciens haïtiens de s'emparer du peu de ressources du pays? Attendons les protestations des intéressés et cela nous indiquera peut-être que la journaliste ne fait qu’inventer les millions de commissions attribués aux politiciens locaux, sur le dos de ce peuple haïtien qui meurt de faim, dont elle a fait mention.




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