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vendredi 9 septembre 2011

Ma réponse à la provocation d’un anonyme

Je veux par la divulgation de ce bref document alerter la communauté en général, car la police d’Ottawa n’ignore pas ce qui se passe, du danger que représente pour ma vie certaines menaces explicites exprimées sur Internet.

Le dimanche 4 septembre 2011, vers onze heures du matin, j’ai reçu à travers le réseau mentionné un message audio en anglais dont les grands points sont à peu près comme suit :

- Vous n’êtes en sécurité nulle part
- Quel que soit le gourou auquel vous vous adressez pour votre protection personnelle, il ne vous répondra jamais
- Votre téléphone mobile, même éteint, enregistre toutes vos conversations
- Vos comptes bancaires ne seront jamais suffisamment protégés
- Vos problèmes de dette ne seront jamais résolus
- Vos efforts pour réaliser des choses dans la vie n’auront jamais de succès
- C’est comme si vous vous croyiez en mesure de vous battre contre Mike Tyson…

Ayant des choses beaucoup plus sérieuses à faire, j’ai tout simplement interrompu cette suite d’inepties. J’admets néanmoins qu’il est opportun de signaler qu’après des mésaventures graves dont je garde, pour le moment, les détails, et des tentatives infructueuses pour les éclaircir, l’individu sait de quoi il parle. Je prends ces menaces au sérieux. C’est dans ce contexte que je tire la sonnette d’alarme. La réaction la plus raisonnable pour prévenir toute manipulation qui tenterait de mettre au compte du suicide, d’un accident ou du hasard, tout danger pouvant affecter mon intégrité physique est celle que j’adopte présentement. Ces prétextes-là sont trop souvent utilisés par des délinquants, de antisociaux qui en font un usage on ne peut plus abusif.

Les moyens utilisés jusqu’ici pour essayer de m’intimider sont d’ailleurs divers :

- Tentatives d’enlèvement à Ottawa (j’ai des témoins)
- Surveillance de ma résidence par des inconnus
- Surveillance pendant que je circule dans les rues
- Surveillance dans les endroits que je fréquente (cinémas, théâtres, centres commerciaux, librairies, etc.)
- Surveillance sur mon lieu de travail
- Surveillance dans les aéroports quand je voyage
- Surveillance à l’hôpital où dans les cliniques que je fréquente
- Sabotage de ma voiture ()
- Etc.

Le personnage masqué de cette farce, a beau être risible, mais il a quand même dit des choses importantes à retenir. Il me rappelle en effet des démarches réellement infructueuses tentées jusqu’ici auprès

- du ministère de la défense du Canada,
- du ministère de la justice du Canada
- de la commission des droits de la personne
- du bureau du gouverneur général du Canada

En conclusion, Moi, Renos Dossous, je me donne la liberté de relever le défi et de répondre publiquement à cet adversaire anonyme, accroupi dans l’ombre de la clandestinité.

Ma vision de la rectitude de ma conduite et de mes actions est d’une solidité à toute épreuve. Ainsi muni de cette force morale inébranlable, je me sens désormais au dessus de toute forme d’intimidation. Cela n’a pas toujours été le cas. Mais avec le temps on apprend. L’incongruité des menaces a fini par me convaincre que seul un délinquant peut se complaire à agir dans l’obscurité, dans le mystère. Mes actes, que j’ai toujours pleinement assumés, sont constamment exposés à la lumière du jour. Exception faite de celles que la décence me commande de garder chez moi. Celui donc qui manque de courage pour se démasquer et agir en plein jour, dénonce par là son manque de scrupule, la faiblesse de sa personnalité pour vivre en communauté, dans une société civilisée. Cette catégorie de sauvages ne mérite pas l’honneur de m’inspirer de la peur. Cette disposition de l’esprit que j’ai définie « une divagation de l’instinct de conservation ».

C’est donc fort de la légitimité de toutes mes démarches que j’ai décidé que, ni la persécution, ni le harcèlement, ni l’intimidation, ni le chantage, ni rien ne me retiendraient de m’adonner à ce que j’ai toujours fait.

Merci

Renos Dossous

rdossous7@hotmail.com OTTAWA/CANADA

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