Des Haïtiens de la diaspora en Europe s'accrochent fermement à l'idée que les quelques quatre millions de compatriotes vivant à l'extérieur du pays doivent être partie prenante dans la reconstruction d'Haïti. A l'occasion de la journée nationale de la diaspora le 20 avril 2011, une quinzaine d'entre ceux - qui vivent en Suisse et en France - se sont réunis à Genève pour discuter de la question. Ils ont la volonté. Mais comment faire pour ne pas marquer le pas ?
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=91687&PubDate=2011-04-26 Commentaire Plus que marquer le pas, nous autres de la diaspora, nous risquons de manquer le train. Le monde avance à grands pas. Et nous? On nous oblige à piétiner. Ce nous ne vise pas directement la diaspora qui, dans l`ensemble, accomplit très bien son devoir. C`est de l`intérieur que devrait clignoter une lumière de bonne volonté. Et là, nous visons directement les dirigeants. Ils ont conscience de la valeur de la diaspora mais que font-il pour mettre fin à son exclusion au moment des grandes décisions? C`est la réponse à cette question qui va nous indiquer dans quelle direction avance la barque. Et nous avons tous intérêt à ce qu`il aille vers l`avant. Nous avons passé trop de temps à marquer le pas ainsi que le déplore si justement notre ami St Fleur. La réaction que nous souhaitons ne devrait pas se limiter a des mots. Des mots nous en avons toujours eu et à profusion. Cela suffit-il pour autant? |
Vivre dans un pays sans loi, c`est vivre dans l`esclavage de la peur. (Renos Dossous)
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mercredi 27 avril 2011
La diaspora ne peut-elle faire un pas plus qualitatif ?
Samuel Colin
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